Aljezur. Jezur de rien

Au réveil, vue océanique depuis mon salon.
Pas une ride sur le bleu de l'eau et pas un nuage. Juste la fraîcheur du matin.
Une larme du Porto gentiment disposé sur un meuble avant de partir  ?
Oui.


3 mai
Arrifana-Aljezur 12 km
On sent ici l'influence Maure dans les noms.
Un peu de fatigue dans les pattes. Il est temps de faire une pause. Et cette petite ville, Aljezur, a l'air sympathique. On va poser le baluchon.
Quel est cet arbre ?
Céramique dans un abri de car. Beaucoup décorent les entrées de maison, avec pour  thèmes la vie quotidienne ou plus souvent, religieuse. 

Les cistes insistent

Et toujours des forêts d'eucalyptus. Néfastes pour l'environnement. Ils pompent l'eau, favorisent l'érosion et brûlent comme fétus de paille.


 Opposition déterminée aux forages au large des côtes. 



 Halte à l'auberge de jeunesse du coin. Dans la chambrée un type à côté de ses pompes.  Reste planté des heures au milieu de la pièce ou fait l'équilibre entre 2 lits. Plus moyen de dormir...








Arrifana. Rien de notable, si ce n'est rien de notable

2 mai
Carrapareita-Arrifana (que des jolis noms) 25 km
+ 500 m
20 bom dia, bom tarde, hello

Chemin sans histoires avec néanmoins, une superbe arrivée sur la baie d'Arrifana.
Plus de monde sur cette côte que dans l'Algarve et les prix montent aussi.



Le soir, dégusté un sargo, très fin poisson local. 
On trouve des pousse-pieds par ici, 35 € le kilo

Rota Vicentina