Estremoz. De marbre blanc, l'ancienne citadelle

qui aujourd'hui, offre une fête médiévale... au son d'une cornemuse, d'une dégustation de crêpes, et d'un "triskel" ornemental ! Sans oublier des danses orientales.





Et ma chambre du jour, trouvée en 3 mn dans un "hôtel low cost".
 20 €

L'escalier 


C'était le 20 mai.
49 km en car. 
Autres photos matinales d' Évora.
Au fait, il pleut aujourd'hui !
Vous ne connaissez pas ce bonheur, petits bretons !

Armoire électrique peinte. Ce qui est "courant" dans le pays.

Vue du sommet de la cathédrale d' Evora visitée le matin


et l'amour chrétien au musée d'art sacré de cette même cathédrale,  !


Évora. Intermède

19 de Maio


Pateo São Miguel 
Jeu de piste continue : laverie  ? Au "Continente", 30 mn. Ah non, c'est à l'Intermarché, 6 km... Mais cependant, un pressing ... Revenez à 16h... Résultat  2,5 + 2,5 + 2,5 + 2,5. Bon comme ça, je visite et le Centro historico et les zones commerciales.
Evora plus ocre que bleue. Enchante. Et chante. Car le restaurante du soir, en plus de plats locaux, "Migas" pour moi, offre du Fado. L'orage nocturne en pleure des larmes ruisselantes.
Un mot rapide sur la nourriture par un non-expert.
A part à Lisbonne, où ce ne fut pas fabuleux, dans l'ensemble je me régale. Que ce soit dans les cafés restaurants populaires ou un peu plus spécialisés, c'est tout bon.
En premier les poissons.  Morues, bars, saumons, sagros, sardines, dorades... 
Sinon, très forts sur le porc. Grillé souvent. La plume, hum...! Seuls les accompagnements pêchent parfois (pommes de terre essentiellement). L'idée excellente est "la sopa de dia" (idem Écosse ).
Et je mange des bonnes choses sans savoir quoi !
Tinto : bon. Vinhos d'Alentejo locaux excellents 
Café : très bon, sauf dans les hôtels 
Pain : très bien
Pâtisseries bien sûr divines. Mais j'aime pas souvent !
Fromages : variés. J'apprécie surtout les brebis
Fruits : on ramasse oranges et citrons. Figues, cerises, attendre
Fraises, tomates... 😦
Mais des télés dans tous les cafés et restos  ! 2 parfois. 
Papier toilette  : papier à cigarettes 
Prix modiques.
Souvenir d'une omelette de morue... ... divine !

Du dédale, des images :
Astérix en Lusitanie, ça existe ?

Je vends du poisson 

Escalier de mon hôtel
Bureau de bibliothécaire  au palais São Miguel 

Mon linge


pends à la fenêtre 







Évora. Le piège déjoué. Ça arrive !

18 mai
E. - Évora 21 km

De nouveau le bord de Nationale tôt le matin. Pas de sentiers par ici. Seulement de longues prairies boisées clôturées de part et d'autre. La circulation est de plus en plus dense. Je joue au toréro avec les véhicules. Petite satisfaction, le temps est couvert.

Je m'amuse après une escalade de barrières sur un bout de la route ancienne coupant cette ligne.


Olivier en fleurs 
Enfin, à 7 km d' Évora, je trouve une chemin campagnard, reposant, avec l'indication de la ville. Mais soudainement coupé par une solide barrière métallique.
Je n'hésite pas, je franchis l'obstacle sans accrocs ! Pour 1 km plus loin, me heurter à un garde me contraignant à faire demi-tour !
8 km supplémentaires !😈
Alors que le soleil chauffe dur maintenant.
Mais à la sortie d'un chantier, un ouvrier aimablement, se propose de m'embarquer dans sa camionnette. Je ne le déçois pas !
Et me voilà pile sur la place Giraldo, cœur de la cité.


Et le jeu de piste, jeu de ville commence : trouver un hébergement. Fermé n'existe plus revenez rappelez c'est où chercher ce soir mais pas demain demain pas tonight manhana restaurante reparti pas trop cher traditionnel médiéval  !
Mais dans un envoûtant dédale.
Fin de la rédaction  !

Derniers jours difficiles donc. Mes chemins noirs, blancs collants et longs. Saudade...
On va faire évoluer le parcours...

Tout de même, le plaisir de retrouver le granit :

Et la cigogne du jour  !






Estaçao do Alcaçovas. N180

17 do Maio
Torrão-E. do Alcaçovas 22 km

Encore plus bitumineux.
Un pique-nique heureux au pied d'un nid où 2 cigogneaux ados me regardent becqueter.
Pas trouver d'hébergement à la ville suivante, donc bivouac au bord de la N 180 de plus en plus passante. Le lendemain promet d'être difficile...


Les oliviers remplacent les chênes-lièges



Torrão. Tout est bien qui finit bien

16 de Maio
Grandola-Barrage Vale do Gaio 30 km
Barrage-Torrão 12 km en voiture

Macadam sous le soleil tapant sec. Je saute sur les zones d'ombre d'un bord à l'autre de la route . Juste un peu de chemin doux au pied pendant quelques kms. Ouf, un bar. Ça braille dedans. Je remplis ma bouteille d'eau tiède. Et café gâteau.
La route droite plane chaude blanche.
Une fontaine. Des cigognes.
J'ai dans l'idée de planter la tente. Mais un panneau annonce  un hôtel restaurant. Trop beau ! Sur mon chemin...
Complet !
Mais le patron de proposer et de m'emmener à la ville suivante ! Qui dira que les portugais ne sont pas sympas !?
Et là, le confort rustique, jardin, piscine... (24 €)


Si loin de la côte, du sable encore. Seuls les pins poussent.





La "Residencial"




Celle-ci, ou

Celle-là