C. de Vide-Nisa 42 km
Oui. Il est devenu fou (et fourbu) !
Depuis le matin, ça n'arrête pas. Erreurs de parcours, perte de l'itinéraire papier et pas de signal GPS ! Bref, je suis pommé. Classique : pas vu la bifurcation. Moins, un panneau indique un dolmen : je continue dans la direction au lieu de retourner sur le sentier balisé. Quand je m'en aperçois plutôt que revenir en arrière (j'aime pas ça), je persiste. Et là, le jeu des barrières à franchir, commence, avec marche parmi troupeaux et passage de rivière.
Bon, des km supplémentaires et lancé, je ne m'arrête pas avant la ville suivante.
(Je n'écoute pas tes conseils, Michel !).
Les 15 derniers km sans pause assise ! Et la fin de la marche avec Vénus pour guide et la lune claire projetant mon ombre devant moi.
Un oiseau nocturne émet son cri de nuit...
Plus de 12 heures de marche. Ce sont les pieds qui gémissent et craquent le plus...
Salut Alain. ce n'est qu'aujourd'hui que je découvre le blog. Je savais pas que tu l'avais mis en route. De plus on était pas mal pris par des trucs de famille. Puisqu'on est grand parents d'un petit Tristan depuis hier. Dis donc 42 km, c'est pas le marathon ça. Jo
RépondreSupprimerPeut-être bien. Je n'avais pas fait le rapprochement. (Je découvre seulement à minuit le 2 juin ces commentaires ).
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