Alvaro - Cambas 20 km
+ 600 m
Oranger renaissant dans le jardin de la Casa dos Hospitalarios
Alvaro s'éloignant 
Où l'on m' offre dans un hameau perdu, de la Ginja dans mon café .
C'était à Abitureira que j'explorais sans rien trouver. Et à la sortie, sur une placette gentiment décorée, un petit groupe palabre. Je comprends rien à ce qu'ils me disent. Et quand je prononce "café", de me montrer juste derrière, ce lieu, que pourtant mon œil exercé, n'avait pas aperçu. Et tout le monde de me suivre à l'intérieur. ..
Terre d’émigrants, ne l'oublions pas.C'est là, qu' une blanche chapelle demeure au bord d'un hameau où tout le reste est à l'abandon. Et je pique nique à son ombre et à celle de l'oranger. De l'eau fraîche coule encore d'un vieux robinet et une ruche me surprend dans un jardin où une vieille vigne allonge ses rameaux. Il n'empêche, j'ai Scrignac au bout du fil, Bretagne, Finistère.
Au bord du Zêzere, en fin de belle journée.
Après les incendies dramatiques de l'an passé cette petite repousse semble un rameau d'espoir pour la région. Mais est-ce pérenne ? L'avenir nous le dira
RépondreSupprimerGinga à ne pas confondre avec ganja !!!
As tu entendu les rumeurs des supporters de foot hier soir dans les vallées ? Je ne suis pas fan mais c'était un beau match !!!
Bon chemin...
C'est Ginja en fait, simplification de Ginjinha (on dirait du Bowie ! ).
SupprimerQuelques cris effectivement, au resto. Et dans le journal : Deus Ronaldo. Je ne savais même pas que la France jouait. Elle est qualifiée ?
Panem et circenses
SupprimerBeau match oui en comparaison avec celui des français à midi ; ils vont devoir se reprendre pour arriver déjà en quart de final. Sommes rentrés hier et j'ai passé tout l'après-midi à tailler et couper les fleurs fanés car il a bien plu en notre absence ; à Marans également lundi et mardi dernier.
RépondreSupprimer